La bataille de Stalingrad est l'une des batailles générales les plus importantes et les plus importantes de la Seconde Guerre mondiale et de la Grande Guerre patriotique entre l'Armée rouge et la Wehrmacht.
La bataille s'est déroulée du 17 juillet 1942 au 2 février 1943 sur le territoire des régions modernes de Voronej, Rostov,
Volgograd et de la République de Kalmoukie.
L'offensive des troupes de l'Allemagne nazie et de ses alliés dura du 17 juillet au 18 novembre 1942, son objectif était de s'emparer du Grand Coude du Don, de l'isthme de Volgodonsk et de Stalingrad (Volgograd moderne).
La mise en œuvre de ce plan bloquerait les liaisons de transport entre les régions centrales de l'URSS et le Caucase (voir Bataille pour le Caucase (1942-1943) et créerait un tremplin pour une nouvelle offensive visant à capturer les gisements de pétrole du Caucase.
En juillet et novembre 1942, l'Armée rouge réussit à forcer l'ennemi à s'enliser dans des batailles défensives et jusqu'en février 1943, à encercler un groupe de troupes fascistes allemandes à la suite de l'opération de contre-offensive "Uranus", à perturber le Les nazis débloquent l'offensive "Wintergewitter" et resserrent le cercle d'encerclement jusqu'aux ruines de Stalingrad.
Le groupe encerclé de la 6e armée capitula le 2 février 1943, comprenant le maréchal Friedrich Paulus et 24 autres généraux de la Wehrmacht.
Cette victoire de l'Armée rouge, après une série de défaites en 1941-1942, marqua le début d'un « changement radical » (l'interception de l'initiative stratégique par le haut commandement soviétique) non seulement dans la Grande Guerre patriotique, mais tout au long de la Seconde Guerre mondiale. toute la Seconde Guerre mondiale
