Cal. 6.35
A noter : la plupart des 6.35 de cette époque sont des 6.35 « maison » qui sont loin d’atteindre les pressions du 6.35 Browning. Les épreuves d’époque étaient également loin des standards actuels. Le chambrage de cette dernière est donc fortement déconseillé, si ce n’est formellement interdit.
Parties métalliques dans un repoli postérieur, hormis quelques restes du nickelage d’origine, notamment la calotte qui a toujours 100% de son nickelage.
Poinçons d’épreuve belges, marquage du fabricant Guyot, probablement GUYOT B. - Fabricant-négociant d'armes à feu à Paris vers 1900. - 48, rue de Lyon.
Bon fonctionnement, tout ressorts francs, léger jeu au verrouillage.
Canon de 3.9 cm à l’intérieur correct, fines rayures légèrement marquées mais bien franches. La baguette est manquante, sa bride est bien présente.
Détente escamotable.
Plaquettes de crosse en noyer, quadrillage atténué avec petite patine.
Réf. 66551:
Longueur totale : 12 cm
Typique des armes de poche de la fin XIXe et du début XXe siècle.
Catégorie du décret du 30 juillet 2013 : D§ e) arme ancienne d’un modèle avant 1900, achat et détention libres par des personnes majeures. Cet exemplaire n'étant pas chambré en 6.35 Browning, il n'est pas concerné par le surclassement prévu à l'annexe B.
Le Prix de réserve est déterminé par le vendeur lors de la mise en vente de son objet.
Il correspond au prix en deça duquel le vendeur ne souhaite pas vendre son objet.
Par définition, le prix de réserve n'est pas porté à la connaissance des acheteurs potentiels.
En tant qu'acheteur, vous devez donc enchérir jusqu'à dépasser le prix de réserve
afin de pouvoir remporter l'objet.