edts budo 2003 , 14 x 21 cm , proche du neuf , photos , croquis , voir scan résumé 286 pages ,
C'est en 1981 que Mestre Nestor traduit son livre «Pequeno Manual do Jogador» qui devint le tout premier livre de capoeira disponible en français. Ce livre au format poche, écrit en très petits caractères était un aide-mémoire à la pratique et un outil à l'apprentissage. Il se vendait hors du circuit commercial, lors de stages. Depuis, le Petit manuel a grandi. Il fait maintenant près de 300 pages et est accompagné d'un disque mais son format est resté pratique. Il est le premier livre d'une trilogie de Mestre Nestor sur la capoeira.(exemplaire en vente)
il est le plus important livre sur le jeu brésilien de la capoeira. L'intention de l'auteur est de proposer, dans un langage simple et objectif, un manuel clair et précis comme une carte d'état-major pour ceux qui s'aventurent sur les terres de la capoeira. Cet ouvrage présente un historique précis de la discipline ainsi que des exercices détaillés. Il explique aussi très bien « l'esprit » de la capoeira. La capoeira, c'est une sorte de danse-combat. Et qui dit danse, dit musique. C'est la raison pour laquelle ce livre est accompagné d'un CD musical indispensable à la pratique. Édité en 1981 en portugais brésilien, cet ouvrage fut vite traduit en français et circula sous forme d'un petit livre artisanal dans le circuit des pratiquants précurseurs. Depuis, il a été édité en anglais, allemand, danois, hollandais, polonais et finlandais… Ce livre n'est rien moins que LE livre de capoeira que tous les pratiquants de l'art, débutants comme confirmés, se doivent de lire. Un ouvrage indispensable dans toute bibliothèque sérieuse.
Extrait du livre :
La connaissance de la nature humaine - en particulier, de son côté sombre -, qui vient avec le temps, à mesure que nous jouons dans différentes rondes avec des amis et des inconnus, et qui vient aussi de l'observation des «jeux» entre les gens au quotidien. Cette connaissance, que tout le monde acquiert, est la conséquence directe de la pratique du Jeu.
La bonne humeur, le sourire, une légère et saine ironie. Cette compréhension permet au capoeiriste de voir les cotés les plus obscurs de l'être humain et de la société sans perdre sa joie de vivre, sans devenir un solitaire aride et cynique. La bonne humeur ne vient pas toute seule, mais doit être cultivée.
