Albin Michel, Paris, 1978. Broché, 24cm x 15,5cm, 442pp. petite détérioration du pelliculage , couverture un peu jaunie , petites cassures dos , , pas de photos , sinon beg
. Mémoires. De 1934 à 1936, l'auteur (1908-1986) commande un poste de police à la frontière Tonkin-Chine ; en 1937-38, il est sur la ligne Maginot ; en 1938-39, il commande une compagnie de la garde de l'Ambassade de France à Pekin ; de 1940 à 45, il est à Shangaï, adjoint au Commandant du Bataillon mixte d'Infanterie coloniale de Chine ; en 1946-47, il dirige en Indochine le 4ème Commando du groupement parachutiste du commandant Ponchardier puis forme en France le premier bataillon de parachutistes coloniaux (les Bérets Rouges). En 1948-49, il commande au Sud-Vietnam le 2ème bataillon colonial de commandos parachutistes puis, à Fréjus, le centre d'instruction des troupes qui partent pour l'Indochine, puis l'Ecole de Saut à Vannes. De 1952 à 54, il est le chef du Service Action d'abord au Tonkin puis pour toute l'Indochine. De 1956 à 1960, il est en Algérie, adjoint du général Massu pendant la bataille d'Alger puis, en mars 1958, il remplace Bigeard au commandement du 3ème régiment de parachutistes coloniaux. Le 13 mai 1958, à Alger, il rejoint dès sa création par Massu le Comité de Salut Public qui demande le retour au pouvoir de De Gaulle, ce que lui-même dénoncera après coup comme un coup d'état gaulliste "ayant permis à une équipe sans scrupule de s'emparer du pouvoir". En 1959-60, il commande un secteur dans le Constantinois. De janvier à avril 1961, il dirige l'armée et la police katangaises
